[ Past ] Deidara ( Yuko Nagate ) Vs Yoko

Ordre : Deidara, Yoko, ect ...

Lieu: Ruines d'un temple grec ( avec les colonnes et tout xD )

Arbitre : Bah moi ^^

Je me voyais encore dans le temps alors que je ne faisais que faire des attentats à la bombe dans les villages. C’était le bon temps. Tout ça avant que je sois recruté par la lune rouge. Ohh mais je ne m’en plains pas, cette vie dangereuse et palpitante a vraiment tout pour me plaire. Les gens me craignent, j’en suis bien heureux. Je trouve vraiment que l’art doit être admirée, peu importe la forme. Certains c’est la peinture, d’autres l’écriture, moi…c’est l’argile! J’adore faire des petites créatures d’argile pour ensuite leur donner vie. C’est vraiment ce que j’appel de l’art contemporain!

Je volai sur le dos de l’une de mes créatures, un aigle géant constitué d’argile. Mon habit noir parsemé de nuages rouges flottant au vent. J’étais en route pour rencontrer quelques « amis », lorsque je survolai de vieilles ruines. De haut, rien ne semblait être intéressant, mais je savais bien que toutes ruines renferment leurs petits secrets. Il y avait plusieurs centaines de colonnes qui montaient vers le ciel et je pouvais observer quelques bâtiments avec une architecture assez originale. Un style très différent des autres. Je descendis un peu, jusqu’à-ce que j’arrive à une hauteur propice pour faire un saut. Mon corps glissai le long du dos de ma bête et sifflai dans le vent jusqu’à mon atterrissage sur le sommet d’une des colonnes. L’aigle que j’eu créé se posa sur une autre colonne à quelques mètres de moi.

Je posai mes yeux à gauche, puis à droite. Je fit un autre saut sur le sol. Je remarquai aussitôt que le sol avait une consistance un peu argileuse, le chemin l’était en tout cas. Je posai mes mains sur ces dernières et mes bouches prirent de grandes bouchées. Je fis une grimace derrière ma mèche blonde. Le sol était non seulement constitué d’argile, mais aussi d’autres éléments, comme la terre et le gravier. Ce qui rendait la tâche plus ardue à mes mains.

Je me relevai et me mis à examiner les colonnes, ces dernières étaient réellement magnifiques. Sculptées d’une façon très étrange, mais tout aussi magnifique. De l’art à l’état pur! Ou devrais-je dire, de l’or! Ces ruines étaient tellement magnifiques. Je marchai le chemin dallés tout en passant ma main sur chaque colonnes, mes yeux identifiant chaque petit détail de ces dernières. J’arrivai devant un grand bâtiment, un genre de temple parsemé de colonnes. Je montai les marches lentement, écoutant le bruit de mes pas résonner au loin. Je tournai à ma gauche et me mis à étudier les détails des poutres sculptés.

-Ohh mais que de beaux détails, de l’œuvre comme ça, on n’en voit pas souvent hein!

Je continuai mon chemin et fit le même cirque pour chaque poutres. Évidement, ces dernières supportaient le toit. Cela faisait environ cinq minutes que je faisais ça. Je regardai mon oiseau, immobile, attendant mes ordres. C’est vraiment dommage que je ne puisse pas leur donner vie. Ce ne sont que des objets finalement. Je m’accotai sur la colonne et regardai au loin. Je cru percevoir un mouvement subtil. Douteux j’allumai mon œil gauche et fit un zoom avant, c’est sans surprise que je vis une silhouette féminine. Évidement, je ne pouvais être tranquille pour admirer cet art, il fallait toujours qu’il y aille des importuns aux alentours… Comme c’est dommage. Un dernier mâchonnement, je le sentis.

La vie est une énigme dont notre nom est le mot.
V.H

Voila une manière des plus troublantes de voir la vie. Elle te correspond plutôt bien ! Ne trouves-tu pas meinen Dorn ? Toi dont l’existence n’es qu’un abîme sans fond de rêve et d’incompréhension. Comment pourrais-tu t’y retrouver sans ton véritable nom ? Perdu dans les méandres glacials de ton passé tu l’as désespérément abandonné dans le seul but de pouvoir oublier. Il revient cependant te hanté lorsque que tu redeviens toi-même. Tu es condamnées à te répéter l’inlassablement les mêmes question face à cette énigme sans fin. Espères tu trouver la moindre réponse avec ces trois existence, ces trois nom ? Wish, Yoko, Ibara. Ces trois fléaux qui n’apporte que souffrance à ton esprit déjà si fragile. Le premier te permit de vivre entouré des êtres qui te son chers. Le deuxième te permit d’oublier leur mort. Le troisième confirma ta malédiction en ramenant sans cesse aux deux autres. Tous te permirent à un moment ou a un autre d’échapper à la réalité. Mais ils ne sont que pure facétie. Car chacun te rappel à un moment ou a un autre ce que tu n’es pas réellement. Alors que faudrait-il faire ? En trouver une quatrième afin d’effacer les autres ? Un qui te représenterai réellement. Un qui te permettrait de résoudre l’énigme. Hélas le moment n’est pas encore venu. Il va d’abord te falloir sombrer comme jamais. Ce n’est qu’une fois que la Vérité t’aura échappé et que l’ombre de tes espoirs aura finit de se consumer que tu pourras enfin les oublier. Car nous le savons tous : La souffrance fait grandir les hommes !

La pluie… La pluie continuait de la suivre… La prêtresse baissa la tête, las de ce voyage qui n’en terminait. Elle marchait maintenant depuis prêt de trois jours en direction du sud. Seul au milieu des plaines désertiques, un rideau de l’arme la suivait comme son ombre. Sa tenue ne laissait apparaître la moindre parcelle de sa peau. De longues bottes serrée recouvraient ses jambes jusqu’au bas de ses genoux. De même un pantalon tout aussi étroit recouvrait ses cuisses pour disparaître dans ses chausses. Une ceinture attachée fermement autour de sa taille maintenait le tout. Plus au se trouvait un haut noir aux longues manques. Celle-ci se trouvait plaqué contre les bras pars des ceinturons attaché refermé ici et là. Ses mains se recouvrait également du longue paire de gants en cuire noir qui lui arrivait jusqu’au bas des coudes. Son visage demeurait voilé par un masque, blanc, parfaitement neutre avec seulement deux orifices pour les yeux. Le tout était recouvert par une ample cape à capuchon. De la sorte, on ne pouvait que distinguer un voile noir au visage immaculé. Elle marchait vêtu ainsi au milieu de nul par tel un fantôme répétant indéfiniment le même trajet. Le climat des environs se faisait des plus arides. Yoko était obligé de maintenir la pluie pour ne pas en subir les conséquences néfastes. Elle avait quitté le pays de la pluie pour celui de la roche dans l’espoir de retrouver son bien aimé. Cela faisait désormais plus d’une année qu’il était parti sans laisser de nouvelle. Inquiète, elle décida de partir à sa recherche. Elle faisait parfaitement confiance à Konan pour s’occuper du village en son absence. Elle avait alors revêtit cette tenue pour restez anonyme aux yeux du monde. Ses recherchent la menèrent jusque dans une région reculée parmi les montagnes.

Là bas, se trouvait d’antique ruine appartenant à une civilisation depuis longtemps éteinte. D’imposantes colonnes immaculées s’élevaient pour y défier les cieux. Ce fut sans doute ce détail qui attira la curiosité de la kunoichi. De plus elle sentait par l’intermédiaire de sa pluie divine qu’une âme si trouvait. D’une démarche à la fois calme et confiante, elle se dirigea vers l’ancienne citée. Après une dizaine de minutes de marche elle pu admirer plus en détail l’étonnante architecture des lieux. Bien qu’en premier plan les colonnes dominaient majestueusement. En arrière on pouvait y découvrir une toute autre forme d’art. Celle de la vie passée appartenant à une autre époque. D’illustres statues d’hommes et de femmes réduites en morceaux jonchaient les pavés brisées de ce qui devait être le temple principale. Sa toiture fissurée l’essai présager l’avènement de sa chute. Paradoxalement ce lieu donnait l’impression d’être totalement hors du temps. Comme si ses pierres immaculées reposaient dans disposition symétrique depuis l’aube de toute chose. Et qu’elles demeureraient ainsi jusqu'à leur crépuscule. Totalement inatteignable, autant pour les hommes que pour les dieux. La pluie vint rapidement tacher les vénérables monuments. Plus loin, installé sur une lignée de marches fendues se trouvait se trouvait un regard perçant qui fixait Yoko avec mauvaise grâce. Elle le reconnu tout de suite. Une chevelure blonde venait masquer la moitié de son visage. Plongé dans une semi obscurité son manteau apparaissait entièrement d’ébène. L’un des criminels les plus recherchés du pays de la terre lui faisait face. Elle comprit aussitôt que l’affrontement serait inévitable. Il était de son devoir de gardienne de le terrasser pour qu’il ne puisse plus nuire au monde. Elle se rapprocha un peu plus de lui. Son masque cachait la totalité de ses traits. Seul l’éclat de ses yeux d’argent pouvait encore être perçu en y regardant de plus près.

-Faisons en sorte que cela se règle rapidement. Je ne tien pas à abîmer un si bel endroit.

Demeurant immobile Yoko posa sa main sur sa colonne vertébrale. Le mouvement ne pouvait pas être perçu de part la cape qui la recouvrait. Une courte lame semblable à un éclat de miroir traversa sa tenue. Elle la décrocha de sa peau avant de l’envoyer droit sur le criminel. L’attaque était rapide, droite, dénué de mouvement inutile.

Magnifique meinen Dorn ! Voila qui tombe à point nommé. Peut-être que cet homme te permettra d’oublier l’espace d’un temps !

Spoiler:

Je regardai l’être s’approcher de moi, lentement, d’une démarche assurée. Cette dernière était accompagnée d’un voile de pluie, comme une porteuse de malheur trainant avec elle un fardeau énorme et éternel. Habillée toute noire, je ne voyais pas sa peau, ou que très peu, son visage étant recouvert d’un masque blanc immaculé. Une anbu? Non, je ne crois pas. Si c’était le cas, ils auraient été envoyés par dizaine afin de m’éliminer. Enfin bref, son grade m’importe peu, elle est comme les autres, rien de plus qu’une présence importune.

Une fois assez prêt, elle ma lança une petite épée à la figure. Le mouvement était souple et non saccadé, totalement fluide. Si cela n’avait pas été de la colonne qui me servit de propulseur, je me serais certainement fait embrocher. Lorsque je vis l’épée venir vers moi, je m’agrippai à la colonne pour me tasser rapidement vers la droite, l’arme blanche se logeant dans le mur derrière moi. Je tassai ma mèche et la regardai de plus belle, avec un air déplaisant, froid, complètement désagréable. J’étais maintenant accroché à la deuxième colonne sur ma droite, donc sa gauche. Je m’accotai dessus, puis fit un coup d’œil rapide pour jauger sa position.

Pour avoir fait un mouvement aussi vite sans avoir aucune difficulté, elle devait y être habituée. J’en conclu qu’elle devait être une combattante de corps à corps. Après tout, c’est une épée. Si elle avait été une combattante spécialisée dans le combat éloigné ou a mi-distance, elle m’aurait lancé un shuriken ou un kunai, certainement pas une épée. Cet objet de guerre étant sans conteste une arme de corps à corps.

Hors, je savais que je ne devais pas baisser ma garde. Je devrais en tout temps me méfier de ses coup bas, le projectile qu’elle m’avait lancé n’en faisais point exception. Je devais donc me méfier de cette arme, puisque je doutais qu’elle s’en servirait plus tard. Elle avait probablement déjà établi une petite stratégie pour me faire baisser ma garde, pour que j’oublie l’épée. Puis, une fois que je l’aurais oubliée, elle s’en servira pour me faire un coup bas. Mais je ne crois pas que cela arrivera, si mes fondements sont justes, je saurai comment retourner cette situation. Je lui fit un petit sourire en coin, totalement ironique et dépourvue de bonne foi.

Spoiler:

-Pauvre idiotte, croyais-tu vraiment m’avoir ainsi? Il faut vraiment être bête pour croire ça… En plus, cet endroit, il n’est pas si magnifique au contraire, en réalité…

Je fis un simple saut, j’arrivai droit devant elle, d’un simple mouvement de main de lui envoyai une petite boule blanche. Elle était à environ six mètres de moi, je n’avais donc rien à craindre pour ce qui était de l’explosion. Elle ne m’atteindrait jamais. J’étais maintenant caché derrière la première colonne à ma gauche, je fis un mudras et criai :

-L’art est une explosion!!

Suite à mes paroles, un nuage de flamme survint. Je venais de faire exploser une C1. Ma bombe la plus banale, mais sans pour autant être impuissante. Elle avait un potentiel meurtrier à courte distance.

Pff. Ces ruines ne sont pas si belles que ça, quel art appart le mien peut causer de vrais dommages? Mon art est de loin la plus développée et la plus dangereuse. Et puis, si elle ne veut pas risquer « d’abimer » ce lieu en combattant, cela ne fait que me donner un avantage. Moi je ne risquerai pas une seconde à détruire des lieux comme ceux-ci, j’en aurai même aucun regret. De toute façon, ça ne fait que prouver un point : mon art est grand!

Le nukenin réussit sans mal à esquiver la lame. Cela ne surpris en rien la kunoichi qui s’attendait exactement à ce genre de réaction de sa part. Il envoya alors une étrange boule d’argile à son encontre. Son premier réflexe fut de bondir en arrière lorsque son opposant parla d’explosion. Et ce fut exactement ce qu’il y eu. L’argile détonna dans un léger fracas aussi important que s’il aurait s’agit d’un parchemin explosif. Yoko eu cependant le temps de s’éloigner pour ne pas subir de dommage. La bombe souffla un nuage de fumée entre les deux shinobis les empêchant de voir l’autre. La prêtresse profita de cette diversion pour disparaître parmi les ruines.

Après tout la discrétion restait sa spécialité comme tout bon ninja qui se respectait. Elle pouvait se pendant continué de discerner sans mal les mouvements et autre éventuel subterfuge de la part de son opposant. Sa technique de la pluie lui permettait de discerner les mouvements tandis que ses capacités de pistage lui permettaient de sentir le chakra. Elle pourrait donc sentir tout ses pièges venir et ceux qu’importe la situation. Sauf que lui l’ignorait totalement. Toujours caché parmi les ruines, elle fit sortir plusieurs dizaines de petites lames de son corps pour ensuite les envoyer sur le membre de l’akatsuki. Les attaques semblaient venir de partout et nulle part à la fois. Les lames miroitantes fusaient ici et là tentant d’atteindre leur cible. Yoko alliait ses capacités de shinobi, à son jutsu de camouflages ainsi qu’à sa vitesse naturel afin de ne point se faire repérer.

Spoiler:

HRP: Vraiment désolé pour le retard! Il y avait toujours quelques choses pour m'empêcher! Ordi qui brise, panne d'internet, grand-mère, devoirs... Enfin... Je serai beaucoup plus présent maintenant!

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C’est sans étonnement que je me vis fusillé par des lames venant de toutes pars. Je ne m’attendais pas nécessairement à ce genre d’attaque, mais je m’attendais à une réplique, c’est certain. Les premières vinrent m’attaquer de front, puis cela changea, les lames venaient de partout. Étais-ce une technique qui faisait que ces lames soient lancées vers moi? Je ne sais vraiment pas, mais comment aurait-elle fait pour attaquer mes bestioles d’argile sans les voir? Alors qu’elles étaient toutes dissimulées? J’avais deux hypothèse en tête, j’allais les tester toutes les deux. Sur chaque colonne il y avait environ trois insectes explosifs dont au moins un avait été détruit. Malgré cela, je pouvais quand même réussir ce que j’avais en tête.

J’esquivai avec une facilité moyenne les armes blanches qui fusaient vers moi, il n’y en avait pas cent en même temps, malgré ce que j’aurais pu penser. En fait, elles m’attaquaient une à la fois et venant d’un endroit différent. Ce qui mettait ma deuxième hypothèse encore plus plausible. Je fit un grand saut et embarquai sur le dos de mon grand oiseau d’argile, ce dernier n’avait pas fait exception à la règle, il avait été frappé par ces lames. Sans attendre, je fis exploser mes créatures, ce qui fit en sorte de faire tomber les colonnes et le toit qu’elles supportaient.

-On dirait bien qu’elle me cache a beaucoup de tours dans son sac celle-là.

Je volai à mi-altitude au dessus des ruines, assez haut pour éviter toutes armes blanche et possible saut, mais toujours assez bas pour tout voir. En parlant de voir, j’eu beau regarder partout, je ne la voyais nulle part. Comme disparue. Septique, je plongeai mes mains dans mes sacs et en dévorai l’argile qu’elles contenaient. Je ne pouvais dire ce qu’elle préparait, mais je pouvais au moins essayer de deviner ce qu’elle allait faire. J’avais plusieurs mises en situation en tête. Comment avait-elle fait pour voir mes créatures, comment les lames faisaient pour tout attaquer avec précision, mais une à la fois. Puis en plus, je ne la voyais pas. Elle n’allait surement pas s’enfuir, puisque c’est elle qui ait lancé l’assaut sur moi. J’en déduis donc une chose : elle était dissimulée. Je devais toutefois faire attention, car je pouvais me tromper, sans mentionner que je ne connaissais rien d’elle. Que ce soit sur sa personne, ou sur ses attaques. À première vue elle semble très douée au Taijutsu, mais pour ce qui est du ninjutsu, je n’en ai aucune idée.

Soit, à cette hauteur, je peux me protéger assez facilement de ses attaques, il ne reste qu’à voir ce qu’elle va faire pour tenter de m’atteindre. Mes mains avaient presque fini de mâcher leur argile, mais je devais encore attendre un peu. Je n’étais pas pressé, j’avais tout mon temps. Pour observer, comme pour confectionner le plus bel art qui soit.

Les projectiles continuaient de fuser de toutes parts alors que le nukenin tentait mollement de les esquiver. Il s’agissait de petite lame, semblable à des éclats de miroir que l’on aurait brisé, pas plus long que celle d’une dague elles reflétaient le monde gris autours d’elles. D’un bond agile le membre de l’Akatsuki grimpa sur son étrange familier. Il ressemblait curieusement à l’explosif qu’il avait lancé vers la kunoichi, à part que celui-ci était assez imposant pour supporter le poids d’un homme. Tous deux s’élevèrent au dessus des ruines dans d’imposant battement d’aile. A cette altitude Yoko ne pourrait l’atteindre avec ses attaques. Demeurée caché entre deux colonnes elle parti se réfugier dans un lieu plus sure. Ce qui apparut comme un ancien temple émergea devant elle, prêt à l’accueillir. Elle s’y glissa avec une vélocité hors norme, sans faire le moindre bruit. Telle une panthère en chasse elle fixait d’un regard avisé sa future proie. Elle ne pensait pas devoir recourir à cette technique mais les circonstances l’y incitaient. Ce splendide pouvoir, elle le devait à son prédécesseur. Le premier Amekami connu sous le nom de Pain Rikudou. Ce pouvoir dépassait l’entendement pour de simples shinobis. Celui-ci lui permettait de prétendre au titre de nouvelle divinité de la pluie.

Adressant une dernière pensée à cette enfant qui fut jadis l’homme le plus craint du monde, Yoko se mit à composer une rapide série de signe à l’appris des regards. Terminant sur le signe de la chèvre une importante quantité de son chakra disparu dans l’atmosphère. Les nuages s’obscurcirent d’avantage tandis qu’un vent annonciateur de déclin s’élevait dans les environs. L’intensité de la pluie diminua sans pour autant s’arrêter. Le silence morne qui venait de s’installer fut brusquement interrompue par les ralles étouffés de la futur tempête. L’air venait s’engouffrer dans la battisse, mugissant diverses plaintes à l’oreille de la prêtresse. Le membre de la lune rouge demeurait immobile du haut de sa créature d’argile. L’étrange bête sans âme battait inlassablement des ailes sans mouvement superflu. Elle décrivait de grand cercle dans le ciel à la manière des rapaces. Le vent se fit de plus en plus intense. Bientôt l’invocation du redoubler d’effort pour se maintenir en place. Mais la tempête ne semblait plus vouloir de cet intrus sur son territoire. Les vents virent de toutes les directions s’acharner sur leurs cibles. L’animal parvenait non sans mal à rester dans les airs. Tantôt ballotté par un courant, tantôt porté par un autre. La fureur se répandit dans toute la zone sifflant aux oreilles de l’indigne de quitter les lieus sur le champ.

Yoko observait avec calme sa pauvre proie mise à mal par la fureur des cieux. Le ciel devenait sien, le vent était son épée, son cœur battait au rythme de la tempête. Elle posa ses mains sur sa colonne vertébrale d’où sorti six petites lames. Elle créa un courant d’air qui menait droit au nukenin. Elle lança alors ses armes à l’intérieur. Poussé par l’air, celles-ci purent fuser jusqu'à leur cible malgré l’importante distance qui les séparait.

Quelle superbe prestance meinen Dorn. Grandiose, vraiment grandiose. Il faudrait t’attribuer le titre de déesse de la tempête. Mais prend garde à ne pas trop de fatiguer. La faim pourrait finir par te ronger…

Spoiler:

Bon bon, il y avait maintenant du vent au rendez-vous. Comme si combattre de la pluie n’était pas assez… Cependant, je sais que ce vent n’est pas normal. Ce qui me fait aussi douter sur l’origine de la pluie. En y repensant, il faisait radieux avant qu’elle n’arrive. Aurait-elle la capacité de contrôler la température? Donc, l’eau et le vent ne feraient qu’un. Je sais à quoi m’en tenir, je sais qu’elle est une adversaire de taille. Je dois donc réfléchir à toutes les possibilités. Créer un plan, puisque le premier n’avait évidement pas fonctionné. Si elle pouvait changer ainsi la température, alors elle n’avait pas succombé à mes bombes.

Je su que mes créatures étaient prêtes lorsque mes mains arrêtèrent leur travail acharné. Les mâchoires stoppèrent de mastiquer et crachèrent l’argile qu’elles avaient préparée avec tant de soin. Mon attirail volant ralentit ses battements pour redescendre un peu, le vent étant contre nous, ce n’était pas en notre faveur. Enfin, pour l’instant et pas avec lui… Il fit quelques cercles en redescendant, mes yeux regardant partout pour voir des signes de vies. Elle ne semblait être nulle part, ce qui était inquiétant et très dangereux. Je devais la localiser, c’était impératif. Je me doutais bien de ce que je devrais faire. J’avais une petite idée, mais je devais la mettre en pratique. L’argile était maintenant en boule dans mes mains. Je serrai les poignets de façon très précise afin de les sculpter. Après quelques secondes, j’avais six petits oiseaux dans mes mains. Rapides, très rapides, mais aussi extrêmement explosifs!

Puis, en un éclair, je vis une lame se loger dans l’aile de ma créature. Instantanément, je lui fis faire une vrille. Une deuxième lame se logea sur elle, mais sur le bas de son ventre. Heureusement, l’argile arrêtait les lames à cause de son épaisseur. Puis, j’eu esquivé la plupart des armes. J’activai mon œil gauche, fit un zoom sur le sol, je ne le voyais toujours pas. Ne le trouvant nul part, je dus voir deux hypothèses. Je créai alors plusieurs dizaines de petits insectes. Très petit même, puis je les lançai vers le sol. Tous assez éloignés l'un de l'autre. Couvrant un grand territoire. Je faisais un petit sourire en coin, malveillant et pensif, comme à mon habitude. En effet, je le faisais naturellement.

Je formai un mudra avec mon index et mon majeur, ce qui fit en sorte de faire grossir les bêtes. Elles avaient maintenant la taille de mon pouce. Je fis un saut arrière, me décrochant de ma bête. Cette dernière alla s'écraser sur le dernier des deux temples. Celui qui était toujours en bon état. Une explosion énorme retentit, détruisant l'entrée et une partie du toit complètement. Je fis une petite chute libre, pas longtemps on s’entend, mais bien assez pour pouvoir lancer mon autre créature. J’utilisai de mon restant d’argile pour concevoir l’une de mes plus belles bêtes. Je fis quelques mudras, et sous moi se créa un énorme dragon. Sur mon visage se grava à nouveau cet air démoniaque. Grâce à ma confection, je pourrai rester dans les airs sans avoir peur de me faire tourner dans tous les sens. Mon dragon étant assez imposant pour résister aux intempéries et pour pouvoir se mouvoir correctement. Tandis que moi, je pouvais rester invisible à ses yeux tout en restant sur son dos.

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Bombes C1 miniatures pour les petits insectes.
Bombes C2 pour l'oiseau et le dragon.

Edit fait. Efface ce poste quand tu posteras Smile

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