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 Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair)

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Karasu Tengu
Nukenin d'Ame
Nukenin d'Ame
Karasu Tengu



Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair) Empty
MessageSujet: Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair)   Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair) EmptyJeu 15 Juil - 12:40


~Personnage~


Nom: Tengu

Prénom: Karasu

Surnom(facultatif):

Age: 23 ans

Grade désiré: Nukenin de rang S Originaire d'Ame Gakure

Descriptions physique:

Karasu possède style pour le moins particulier. Si on commence par le côté vestimentaire on comprendra que notre ami n’aime pas s’embarrasser avec différente tenue. La plus part du temps, vous le verrez porter un long manteau lui descendant jusqu’au genou et un pantalon moyen de cuir noir. Pour couvrir son torse, il ne porte qu’un débardeur de même couleur. Ses pieds disparaissent sous d’imposante rangers parfaitement taillées pour le terrain. Entourant sa taille se trouve une ceinture dont l’emblème représente une tête de corbeau. De celle-ci part une petite chaînette en argent qui lui descend jusqu'à la cuisse gauche à la quelle est accroché une plume de corbeau. Autour de son poigné droit se trouve un petit lacet auquel est accroché un petit pendentif en forme de croissant de lune. D’un point de vue physique c’est là qu’on se rend compte que notre camarade à l’air tordu. Il possède des cheveux d’un noir de jet profond lui arrivant jusqu'à ras de la nuque. Vers l’avant lui retombe une lourde mèche qui lui cache la partie droite de son visage. En raison de son pacte avec Sojobo ses yeux ont prit une tête écarlate. Alors qu’à l’origine ils étaient noirs. Un piercing se trouve sur sa lèvre inférieure d’où part une chaîne allant jusqu'à un autre piercings de son oreille. Le tout retombe dans le vide auquel est fixé à l’extrémité un bijou en forme de tête de mort. Niveau carrure Karasu n’est peut-être pas une bête de compétition, mais il n’a pour autant rien à envier aux meilleurs. Les années passées à combattre on finit par forger son corps par des muscles secs et travaillé. Qu’importe le temps extérieurs sa peau demeure d’une blafarditude intense. Pour finir, il ne reste plus qu’à citer le tatouage en forme de plume s’envolant dans le vent entourant le cœur du shinobi. Symbole de son pacte avec le démon. Il traîne également toujours avec lui un petit corbeau noir bien mystérieux

Description mentale:

Mes amis, j’aime la violence. Mes amis, j’aime la violence. Mes amis, j’aime la violence sous toutes ses formes. Que ce soit dans une arène sordide ou dans le coin sombre d’une ruelle. J’aime entendre la symphonie du métal retentir de part et d’autre sur un champ de bataille. J’aime voir le sang se déverser à flot. Je ressens toujours comme une sorte de petit pincement au cœur lorsque j’éventre un homme en lui ouvrant le bide de la gorge jusqu'aux couilles. Quelle joie de sentir cette délicieuse chaleur envahir mon corps lorsqu’une lame vint mordre ma chair. J’aime le combat, j’aime attaquer, j’aime parer, j’aime blesser, j’aime être blesser, j’aime m’éclater sexe et j’aime m’éclater tout court. Mon slogan c’est : « Sex, drugs, violence and rock & roll » Ho oui mes amis j’aime la violence. Je suis complètement accro à ça. Pour moi c’est bien pire que la drogue, que l’alcool ou toutes les femmes du monde. Il s’agit de ma raison d’être. Je tue donc je suis. Je désir plus que tout voir un océan de sang se déverser sur le monde. Qu’importent les malédictions, qu’importent les fléaux, qu’importent les limbes. L’enfer ne voudra pas de moi. Ne vous y méprenez pas trop non plus. Je suis capable de prendre mon plus beau parti. Mais ce n’est pas forcément beau à voir surtout quand il s’agit de se refaire.

Histoire:

Holééééé ! C’est parti les morveux, fois-ci mon histoire. Celle d’un gosse maudit dès la naissance. Mais avant de me lancer dans mon histoire il va tout d’abord falloir passer par le récit de mes origines. Je sais, c’est chiant, mais pas le choix si vous voulez piger la suite.

Peu de personne le savent, mais mon clan, celui des Tengu ; est un des plus anciens qui n’ai jamais existé dans le monde ninja. Ses origines remonte à l’époque où les pouvoirs du Rikudou Senin étaient à leur apogée. Celui-ci désirait prêcher la voix du ninja à travers le monde. Il comprit rapidement qu’il s’agissait d’une tache trop ardue, même pour lui seul. C’est alors qu’il prit l’initiative de réunir des partisans pour sa cause. Bien entendu il n’eu aucun mal à les trouver. Il décida de leur transmettre une partie de son savoir. Certain de ses plus fidèles reçurent même un don. Ils se retrouvèrent pourvut d’immenses ailes, leur permettant ainsi de voler aux quatre coins du monde afin transmettre la parole de leur maître. Mes ancêtres étaient les messagers de Dieu. Quelques années plus tard, ils seraient ses exécutants… Comme vous le devinez sans doute, de nombreux apprentie commencèrent à se liguer contre le Rikudou. Les Messagers furent par la suite chargé d’éliminer. Les débuts furent plutôt aisés avant qu'ils ne gagnent en puissance. La mort surgit rapidement dans les deux clans. Le nombre de renégat ne cessait de croître alors que celui des Messagers diminuait progressivement. La lutte commençait à tourner à l’avantage des traîtres. Sojobo Tengu qui n’était d’autre que le chef des Messagers prit décision de se concerter au prêt du Senin. Il demanda d’offrir à lui ainsi qu’à ses hommes d’avantages de pouvoir pour faire face à la menace. Après un long débat le sage refusa d’accéder à sa requête ; proclamant que d’avantage de puissance les feraient se détourner du droit chemin. De nombreux Messagers périrent au combat pour cette cause et cela Sojobo ne l’oubliat jamais. Il réussit cependant à acquérir ce qu’il désirait de la part de son maître, mais la haine persistait toujours. Considérés à l’origine comme les maîtres des cieux, ils étaient désormais appelés les maîtres des vents. Muni de leurs nouveaux dons les Messagers enraillèrent définitivement la menace. La rancœur qu’ils nourrissaient vis-à-vis de leur ennemi de s’éteignis par pour autant après leur victoire. Un véritable massacre fut orchestré. Ce génocide fut l’un plus sanglants de l’histoire. Les Messagers se justifièrent en proclamant qu'ils n'agissaient que pour vengerleurs camarades morts. Mais il s’agissait en réalité des conséquences de leur propre folie.. Plus que des animaux, ils se comportaient en véritable monstre. Ils mirent tuer des ennemis qui n’en étaient pas, a défier l’autorité de leur maître à plusieurs reprise. Jusqu’au moment ou celui-ci, se rendant compte de son erreur, décida de mettre un terme à ces excès. Il se chargea en personne d’éliminer ces dépravés. Un flot de sang se répandit alors sur le plumage sombre des maîtres corbeaux. Souillez jusqu’alors au plus profond de leur être, il en était désormais de même pour leur corps. Armé de ses hommes Sojobo voulut se dresser contre leur bourreau. Le résultat n’en fut pas moins déplorable. Il devint le seul survivant de cette triste bataille. Comprenant qu’il ne pouvait plus rien faire il jura de se venger un jour avant de partir s’exiler dans les montagnes. Par la suite il créa un clan au quel il y apprit la maîtrise des vents et y fondit une famille, dans le but qu’un jour son ascendante soit apte à le venger de cette fatalité. Hélas il se rendit rapidement compte que son pouvoir n’était point transmissible et que ses enfants restaient des humains parmi tant d’autre. La solution vint d’elle-même. Il compris qu’il lui fallait directement transmettre ses capacités dans un réceptacle. Il travailla alors pendant plusieurs années à l’élaboration d’un fuinjutsu capable d’être transmit au fil des générations. Puis une fois arrivé au crépuscule de sa vie, il transmit ses pouvoirs à son fils aîné lui déléguant par l’occasion la charge de son clan. Les siècles s’écoulèrent dans un chaos des plus total, ravagé par les conflits et par la guerre. Menez par plusieurs générations chefs possédant le don noir, les Tengu brandirent leurs éventails. Des contrées entières furent ravagées par d’immenses cyclones. Ils transmirent une partie de leur savoir aux peuples du désert qui les accueilleras à bras ouvert à plusieurs reprises. Les affrontements faisaient rage tandis que le sang coulait à flot. Vint le jour où un certain Hashirama Senju parvint à instaurer la paix en équilibrant les puissances par l’intermédiaire des démons à queues. Les premiers villages ninjas firent leur apparition, mais les Tengu préférèrent conserver leur liberté en tant que nomade. Ils créèrent un temple dédier à leur ancêtre à la laure du pays de la pluie et celui des nuages, se servant de ce lieu comme repère. Ils offrirent leur service en tant que mercenaire à la plus part des nations. Se faisant par l’occasion beaucoup d’allier et d’ennemi, mais les Tengu avaient su conserver une position neutre plus ou moins neutre au cours des guerres.. Les désirs de vengeances de Sojobo avaient été enterrés avec lui, ne laissant de lui qu’un simple récit appartenant au passé. Sa sottise me permit de devenir ce que je suis à présent… Un monstre

Tout commença dans ce pathétique village qu’est Amegakure. Je dis pathétique car je n’ai jamais su éprouver la moindre compassion pour cette poubelle géante. Mon clan, celui des Tengus était constitué d’un ensemble de ninja renégat ayants déserté leur nation d’origine pour offrir leur service en tant que mercenaire ou assassin. Le clan ce divisait en deux branches : la principale détenait tout les membres possédant le sang dit héréditaire du clan, tandis que la parallèle ne se composait que de nukenin l’aillant rejoints. Je vins au monde dans la principale, ce qui me permit d’accéder aux secrets enfouis de nos origines. Nous possédions tous au plus profond de nous un pouvoir héréditaire similaire à celui du grand Sojobo. Il s’agissait d’une divinité mi-homme mi-corbeau qui serait à l’origine du clan. Pour moi cela n’était ni plus ni moins qu’un ramassis de connerie, toutefois, arrivé à mes dix-huitièmes années, je fus forcé d’y croire. Mais ne brûlons pas les étapes, commençons par le commencement. Ma première victime fut tout simplement ma propre mère, qui perdit la vie en me menant au monde. Je fus donc élevé seul par mon père. Un mec plutôt cool dans sa façon de vivre horsmis pendant les missions. Le pauvre ne s’attendait sûrement pas à avoir un gamin aussi chtarbé que moi. Je lui en fis voir de toutes les couleurs, tout particulièrement le rouge si vous voyez ce que je veux dire. Et ouaip ! C’est fut à l’âge de huit ans que je compris exactement en quoi consistait le truc. Vous voyez le genre ? L’éclate, le délire, le fun… Un peu comme la clope. Une fois qu’on y a goûté on ne peut plus s’en passer. Et on peut dire que j’étais vraiment accro à ça. Je vous laisse imaginé ma joie lorsque mon paternel m’offrit mon premier katana.

Je passais mes journées ainsi que mes nuit à m’entraîner sous la pluie. Dans quel but ? Celui de pouvoir continuer sans jamais m’arrêter. Avancer encore et toujours. Un nindo plutôt sympathique qui continu d’animer mon existence jusqu'à ce jour, mais d’une toute autre manière. Mon adolescence fut dès plus charmante. La guerre civile déchirait le village de la pluie de toute part. Ce qui rendait les affaires on ne peut plus bonne pour les Tengus. De l’action et des effusions de sang à gogo. Que demander de plus ? C’est d’ailleurs sur le terrain que je fis la connaissance de mon pote Haguta. Un bon qui ne tarda pas à rejoindre la branche secondaire de mon clan. Ce gars là aurait put casser la baraque s’il s’était entraîné comme moi plutôt que de tirer tout ce qui bougeait. Remarque quand j’y repense, il aura eu raison de faire tout ça. Avec ce qui nous attendait après. Et merde, on se serait cru dans un mixte entre le paradis et l’enfer. Les Tengus travaillaient en étroite collaboration avec la salamandre. C’est d’ailleurs elle qui faisait rentrer la monnaie la plus part du temps. Tout allait bien jusqu’au jour ou il est arrivé. Ce bouffon criblé de piercing qui se prenait pour un dieu. Il avait débarqué armée de ses grands airs en demandant au chef de notre clan de travailler pour lui. Bien entendu ce gars ne possédait pas assez pour payer nos services. Et puis nous ne comptions guère nous débarrasser de notre principale source de revenue. Après s’être fait méchamment refoulé on n’entendit plus parler de pendant un certain temps.

Evidemment si notre chef avait su quel genre de bête se tenait face à lui, il aurait sans doute été d’un tout autre avis. Hélas, alors que moi et Haguta étions parti en douce histoire de voir comment se présentaient les femmes de Kusa le gars revint pour en découdre. Ce que nous découvrîmes en rentrant nous saisi d’effroi. Une cinquantaines de corps crucifier par d’étrange lame noir pourrissait sur les murs du temple. Au centre de la pièce, là ou se trouvait l’imposante statue de Sojobo se trouvait notre chef littéralement empalé contre celle-ci. Il ne semblait y avoir aucun survivant. Dans cette kermesse moribonde je trouvais le cadavre de mon père pour mon plus grand désespoir. Je tombais à genou tandis que je laissais la rage se mêlait à mon chagrin. Vous devinez sûrement qu’en sortant de cet endroit j’étais bel et bien décidé à faire sa fête à cet enfoiré. Nous mîmes prêt d’une année à le trouver en fouillant le village de fond en comble, massacrant et tuant tous ceux qui se dressaient sur notre route. Jusqu’au jour ou il finit par croiser notre route en accompagné par cette putain de poufiasse en papier mâché. Nous y sommes allé avec toute la rage que nous possédions. Mais cela n’en valait guère la peine face à un truc aussi gros. Quoi que nous tentions nos lames ne parvenaient jamais à atteindre leurs cibles. Haguta se fit avoir le premier pour qu’ensuite arrive mon tour. Cependant il se passa quelque chose au quel je ne m’y attendais pas. Il me laissa vivre… Vous rendez-vous compte ? Moi Karasu Tengu épargné sous le prétexte bidon qu’il me fallait souffrir pour grandir. Mon corps inconscient fut ensuite jeté au fond d’une rive qui s’imprégna peu à peu de la souillure de mon sang. Je ne réussi à en ressortir que quelques heures plus tard, épuisé et affamé. A cet instant je me disais qu’il ne me rester plus qu’une seul chose à faire. C'est-à-dire crever avec les honneurs. Je me dirigeais vers l’ancien temple mon clan, me disant qu’il s’agirait de l’endroit idéal pour mettre fin à mes jours. Une fois pénétrer dans le grand hall, je m’effondrais devant la statu de ce qui fut jadis une idole pour les miens. Pas grand-chose n’avait bougé. Moi et Haguta étions partis tellement rapidement que nous avions laissé les cadavres empalés tel quel. Depuis, le temps et la corrosion avaient fait leur travaille réduisant mon ancienne famille à l’état d’ossement. Seul demeurait encore, encastré dans les murs, les lames de son bourreau. A mesure que je sentais mes paupières pesées sur mes yeux, je comprenais que j’arrivais en bout de course. Enfin de compte mon clan avait payé pour toutes les atrocités qu’il avait commit. La ligné des Tengus aurait du prendre fin à cet instant. Cependant quelqu’un n’était pas vraiment en accord avec ce funeste destin. Je reprenais conscience en plein cœur d’une clairière dépravé. Les arbres morts formaient une barrière autour de moi. J’entendis le corbeau perché sur une branche m’appeler. Celui-ci me proposa réparation en échange du peu d’humanité qu’il me restait. Sojobo voulait faire de moi le réceptacle de toute la haine que mon clan avait engendré. Que vouliez-vous que je fasse ? Passer mon chemin en attendant de me faire choper par la mort ? Ou alors accepter cette merveilleuse proposition pour finalement devenir le monstre que j’avais toujours été. Une pluie de plume aussi sombre que l’environnement qui m’entourait s’abattit alors sur moi depuis ces cieux éthérés. Je les sentis pénétrer dans mon corps en même temps qu’une sensation de vertige m’envahissait. Le corbeau demeurait immobile tel une statue d’ébène taillé à même la roche. L’univers volant en éclat pour me laisser me réveillait en sursaut à l’endroit exact ou j’avais perdu connaissance. Haletant et ruisselant de sueur, je tentais à grande peine de me relever mais une horrible douleur me barra la poitrine.

Quelques choses de dure remontaient le long de mon œsophage. Un flot de sang jaillit de ma bouche allant jusqu'à souiller mes vêtements. C’est là que je vis une espèce de petite merde gigotant dans mon sang. Tellement petite que j’aurais pu l’écraser entre mes doigts. Je l’attrapais par ce qu’il semblait être une patte et la portait jusque sous mes yeux. Le bébé corbeau coassait à s’en faire péter les cordes vocales tout en tentant de me mordre les doigts. Je compris qu’en restant ici, sous le regard de cet enfoiré je ne pourrais jamais parvenir à mes fins. Cependant des années plus tard, après avoir commit plusieurs centaines de délit et d’assassinat je décidais de rentrer au bercail. Plus fort que jamais, je comptais bien mettre une branlé mémorable à cet enculé. Hélas j’appris que celui qu’on appelait dieu s’était fais vaincre par un gamin du pays du feu. Il ne restait que sa pouf pour gouverner le village. Mais elle ne m’intéressait guère si ce n’est pour son joli petit cul. Il me restait cependant une quête à accomplir. En effet après le massacre de mon clan j’eu vent que des pilleurs avaient prit possession d’arme antique légué par Sojobo. Par l’intermédiaire de mon sceau il me demandant de les retrouver afin que son héritage de tombe pas entre des mains indignes. Je suis Karasu Tengu. Le dernier représentant de Dieu et vous allez en chier grave.

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MessageSujet: Re: Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair)   Les chroniques du corbeau(mauvais exemplair) EmptyJeu 15 Juil - 13:01

oki validé ^^
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